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CEINTURE ÉCHARPE DU CONTRE-AMIRAL DOMPIERRE D'HORNOY, directeur du personnel au ministère de la guerre, Second Empire - Troisième République. 23377/105

CEINTURE ÉCHARPE DU CONTRE-AMIRAL DOMPIERRE D'HORNOY, directeur du personnel au ministère de la guerre, Second Empire - Troisième République. 23377/105

En mailles de filé or et soie blanche (présentant six bandes d’or sans mélange et cinq bandes de soie et d’or, toutes égales en largeur et disposée alternativement dans le sens de la longueur). Aux extrémités sont cousus deux glands trapézoïdaux : les têtes recouvertes de cannetille or appliquée en damier, au point mat, dit « point suivi » légèrement bombées des deux côtés, chacune garnie de trois étoiles d'argent (chaque étoile est garnie à son sommet de petites perles dorées en métal taillées pointes de diamant). Les gorges et les jupes à longues franges sont à grosses torsades mates.

France.
Second Empire - Troisième République.
Parfait état.

BIOGRAPHIE :
Charles Marius "Albert" de Dompierre d'Hornoy est né à Hornoy le 24 février 1816, mort à Paris le 21 mars 1901, amiral et homme politique français.
Carrière militaire
Charles de Dompierre d'Hornoy
Albert de Dompierre d'Hornoy est issu d'une famille noble subsistante (?) de Picardie: la famille de Dompierre d'Hornoy, anoblie par fonction à Amiens en 1735, inscrite à l' ANF depuis 1935. Il accomplit une carrière dans la marine qui le conduisit au grade de vice 'amiral.
Aspirant de 2e en 1829, puis 1re classe en 1831 ;
Enseigne de vaisseau, en 1834. Après sa sortie de l'école navale, il participa à la Bataille de San Juan de Ulúa en 1838.
Lieutenant de vaisseau, en 1841. Il fut aide de camp de l'amiral Hugon dans la station des Antilles en 1843-1846. Il fut commandant de l'Églantine de 1848 à 1849.
Capitaine de frégate, en 1849. En Afrique, puis au Levant comme commandant de l'aviso à vapeur l’Éclaireur, il porte secours au bâtiment l'Osiris en difficulté dans le port d'Aboukir. En 1854 il est nommé second sur le Ville de Paris, commandé par Rigault de Genouilly, avec lequel il participa à la campagne de Crimée. Il s'y distingua, notamment par son énergie à faire soigner les malades durant l'épidémie de choléra.
Capitaine de vaisseau en 1854, il conduisit le vaisseau durant les opérations du bombardement de Sébastopol comme navire porte-pavillon de l'amiral Hamelin. Il prit le commandement de la Pomone de 1856 à 1857, puis de la corvette l'Artémise à la tête de la station d'Islande. De 1862 à 1863 il fut chef d'état-major de l'escadre d'évolution.
Contre-amiral en 1864. Il prit le commandement du yacht impérial l'Aigle de 1864 à 1866 qu'il dirigea lors des voyages impériaux en Algérie et en Angleterre. Il conduisit le sultan ottoman, en 1866, en France. De 1867 à 1869 il commanda la division des navires cuirassés de la Manche. Il fut nommé directeur du personnel au ministère de la Marine en septembre 1869 et durant la guerre de 1870, il assura l’intérim du ministère de la Marine à partir de septembre. Durant le siège de Paris, il organisa le rapatriement des canons des ports dans la capitale et organisa le corps de la marine qui se distingua pendant le blocus des Prussiens.
Il fut nommé Vice-amiral en 1871.
De 1877 à 1878 il commanda l'escadre d'évolution et fut versé dans la réserve en 1881.

Carrière politique
Il fut successivement élu :
Député à l'Assemblée nationale de 1871 à 1876.
Sénateur de la Somme de 1876 à 1882.
Député de la Somme de 1885 à 1893.
En février 1871, il fut élu député de la Somme, et siégea dans les rangs de la droite légitimiste. Adversaire de la République, il vota constamment avec les conservateurs :
contre Adolphe Thiers,
contre l’amendement Wallon
contre les Lois constitutionnelles de 1875.
Il fut ministre de la Marine et des Colonies sous le premier gouvernement Albert de Broglie du 25 mai 1873 au 21 mai 1874.
Au Sénat, il vota la dissolution de la Chambre demandée en juin 1877 par le cabinet de Broglie-Fourtou. Il fut battu aux élections sénatoriales dans la Somme au renouvellement triennal du 8 janvier 1882.
À la chambre des Députés, il vota : contre les ministères républicains.
Lors de la demande d'enquête sur les causes et les responsabilités de l'expédition du Tonkin, il se sépara de la droite qui vota pour, il s'abstint contre les poursuites contre le général Boulanger.
Il mourut en 1901.
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Référence : 23377/105
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